Signes (Carolyn Carlson – Olivier Debré – René Aubry) – juin 2023

Quelques mots pour traduire, pour résumer une étincelle (sensorielle-mentale) – encore une tentative. Un moment de ma soirée Signes. Bref moment consécutif à tout ce qu’a enchaîné jusqu’ici le spectacle et tout l’état de fascination radicale déclenché en moi dès le départ ; qui fait suite à tout ce qui s’y est développé avec cette temporalité retenue si déterminée. Moment d’épanouissement absolu – la joie qui dialogue avec la gravité –, où j’en viens donc à me dire, à me formuler ce simple constat que – décidément, oui – l’être humain possède quand même bel et bien cette suprême capacité de conscience mystique, dirons-nous, pouvant se traduire ainsi en création poétique. Comme un grand mystère ici éprouvé, assumé et représenté. Je crois pouvoir dire qu’il s’agit d’une perception phénoménale : tout le génie de conscience possible de l’humain avec (ou bien dans) son au-delà, condensé dans ce que me donne à vivre ce moment.

EC

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